Lundi 16 novembre, le conseil général des Hauts-de-Seine se réunit en commission permanente et une nouvelle fois ce sont les activités du secteur social qui font les frais de la politique de ségrégation de P. Devedjian et de sa majorité de droite :
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diminution de près de 3000 euros de la
subvention au Secours populaire,
- stagnation depuis 3 ans des subventions aux associations d’aide sociale comme les Restaurants du Cœur sans aucune prise en compte de l’augmentation du coût de la vie et des besoins des plus démunis dont le nombre ne cesse d’augmenter
- diminution des subventions attribuées dans le cadre du contrat urbain de cohésion sociale : moins 100 000 euros pour Nanterre, moins 29 000 euros pour Châtenay-Malabry, ...
Cette attaque contre les actions de solidarité dans ce département est
récurrente, on se souvient de la diminution de plus de 14 000 euros au
Secours populaire, il y a seulement 2 ans.