Le blog de Patrick Alexanian

Des mesures pour les jeunes à la rentrée

LE PARISIEN FLORENCE HUBIN | 27.03.2010,

 

Treize réunions en 2009, 2 000 jeunes du département mobilisés, 9 000 questionnaires retournés, 120 000 € dépensés par le département pour les Assises de la jeunesse… Pure communication ou réelle volonté de répondre aux attentes des jeunes ? C’était la question posée hier par un conseiller général de Bagneux, Patrick Alexanian (PC), qui s’inquiète de ne voir aucune proposition des jeunes reprise, neuf mois après la dernière réunion des Assises.

« Depuis, rien ne bouge », s’impatiente l’élu de l’opposition, brandissant une lettre de Cyril Dechenoix, conseiller général (UMP) chargé de la jeunesse, en date du 21 octobre 2008, qui annonçait une restitution publique pour… juin 2009. L’élu communiste se dit d’autant plus navré que les collégiens, étudiants et jeunes salariés avaient émis de nombreuses propositions : « Remboursement à 50 % de la carte Imagine R, une carte culture, une aide pour payer la caution locative, une aide au permis de conduire…» énumère Patrick Alexanian. 

 

« Nous n’avons pas rencontré tous ces jeunes pour ne rien faire derrière, rétorque Cyril Dechenoix. Il a fallu analyser tous les questionnaires. On l’a fait à partir de septembre 2009. Puis les services ont travaillé sur des pistes que j’ai soumises début 2010 au président du conseil général, Patrick Devedjian. » Le conseiller général de la majorité promet un véritable « plan jeunesse » pour les Hauts-de-Seine avec des mesures dès la rentrée 2010. L’élu évoque déjà quelques pistes : des bourses pour le permis de conduire, le Bafa (brevet d’aptitude à la fonction d’animateur) ou encore le brevet d’éducateur sportif.

Pour la carte Améthyste

Le Parisien 26 mars 2010

Les conseillers généraux du groupe communiste et citoyen s’inquiètent pour la carte améthyste, qui permet aux personnes âgées ayant peu de ressources de bénéficier de la gratuité des transports sur l’ensemble du réseau RATP et SNCF en Ile-de-France. Le 23 octobre dernier, la majorité des élus du département a approuvé — sans les voix du groupe communiste et citoyen — le rapport relatif à l’actualisation du règlement départemental d’aide sociale.

Les critères d’obtention de la carte améthyste — qui « aide à combattre l’isolement », expliquent les élus PC — ont ainsi été durcis (notamment les conditions de ressources), conduisant certaines personnes à ne plus y avoir droit. Face à ce qu’il qualifie d’« injustice », le groupe communiste et citoyen demande la modification du règlement d’aide sociale et l’assouplissement des critères d’attribution.

En Sarkozie

 Ambiance aigrie à l’UMP, dimanche. Regards mauvais aux journalistes affairés dans un local surchauffé et exigu : « Faut s’en méfier, y en a même un qui a demandé si y aurait du champagne ! » Des angoissés croisent entre deux caméras ceux qui s’attendaient à pire tandis qu’un élu pérore : «  Nous sommes victorieux sur 3 régions, c’est mieux que 2 ! » À 21 h, il n’y a plus grand monde. « C’est gênant, quand même », note une militante. Alors qu’une série américaine remplace le plateau électoral, les jeunes hésitent à rentrer se faire un plateau télé. « On reconnaît qu’il y a un message, mais il faut du recul. » « Le problème, c’est qu’on n’a pas assez expliqué. De toute façon, ce qu’on fait, on ne le fait pas que pour gagner des voix. » Sans blague !

Riche mais pingre

Le conseil général (UMP) des Hauts-de-Seine a récemment durci les critères d’obtention de la carte « Améthyste ». Cette carte permet aux personnes âgées ayant peu de ressources de bénéficier de la gratuité des transports ou du demi-tarif sur l’ensemble du réseau RATP et SNCF en Île-de-France, contribuant ainsi à combattre l’isolement. « De plus, une somme de 168 euros en cas de perte, de vol et même de non-réception de leur carte est désormais demandée aux titulaires de la carte. Une somme complètement disproportionnée au regard des revenus des personnes pouvant être titulaires de cette carte », s’insurge Patrick Alexanian, conseiller général PCF de Bagneux. Le département le plus riche de France est toujours le plus pingre.

Dans Politis, 25 mars 2010

Le PCF se demande si l'immobilisme de M.Devedjian n'anticipe pas à la disparition du CG !

Je vous propose la lecture de l'interview dans première heure de Catherine Margaté, Maire de Malakoff et Conseillère générale,  concernant le budget des Hauts-de-Seine.

Cliquer ici pour télécharger le fichier

« Bienvenue dans une ville hors la loi. »

Le Parisien du 3 février 2010

« Bienvenue dans une ville hors la loi. » Pour dénoncer la pénurie de HLM dans le département des Hauts-de-Seine, les candidats de la liste Ensemble pour des régions à gauche ont choisi hier la plus emblématique, Neuilly, des villes qui ne respectent pas les 20 % de logements sociaux imposés par la loi SRU (solidarité renouvellement urbain).

Une poignée d’élus et de militants se sont battus contre le vent et la pluie pour installer leurs panneaux et distribuer leurs tracts porte Maillot, à l’entrée de Neuilly. « Sur 36 communes, 15 ne respectent pas la loi SRU. Or, le département des Hauts-de-Seine favorise des villes qui sont sous le seuil des 20 % et pénalise, en diminuant leurs subventions, des villes qui sont au-dessus des 20 % », s’indigne Pascale Le Neouannic (Parti de gauche), conseillère régionale et conseillère municipale d’opposition à Antony, dont l’ancien maire est l’actuel président du conseil général. « Quand Patrick Devedjian a pris la ville, il y avait 28 % de logements sociaux, il n’y en a plus que 19 % », souligne l’élue. Pascale Le Neouannic regrette que quatre villes bénéficiant d’un programme d’aide de l’Etat (dans le cadre de la rénovation urbaine) soient des communes qui n’atteignent pas le quota des 20 % de HLM. La candidate déplore aussi le fait que peu de logements sociaux aient été construits ces dernières années dans les villes qui se sont densifiées : « En sept ans à Courbevoie, sur 7 300 logements construits seulement 42 sont des logements sociaux ! Et certaines villes en détruisent : c’est le cas à La Garenne-Colombes, où 56 ont été supprimés. »

Pour les candidats de la liste de gauche (Front de gauche, PC, Parti de gauche, Gauche unitaire, Alternative citoyenne…) il faut une politique plus ferme pour obliger les villes à faire des efforts : « Jean-Paul Huchon a refusé de mettre en place des critères d’attribution des subventions en fonction des politiques de solidarité des villes, mais c’est ce qu’il faut faire », estime Pascal Le Neouannic. De son côté, Patrick Devedjian se félicite de son « effort sans précédent » concernant le logement social en 2009.

Le conseil général a « financé » 3 366 logements l’an dernier, dont les 1 317 logements d’Icade rachetés par l’Office public départemental HLM des Hauts-de-Seine, soulignent les communistes, « Le bilan 2009, 2 049 logements nouveaux, est donc le même qu’en 2007 et 2008 ! »

La baisse des subventions inquiète les communistes

Le 30 janvier dans le Parisien

Patrick Alexanian et Patrice Leclerc, conseillers généraux communistes, invitent les associations du département à débattre de la difficulté d’obtenir des subventions départementales. Patrick Alexanian, qui est aussi conseiller municipal à Bagneux, et Patrice Leclerc reprochent au président du conseil général, Patrick Devedjian, un « manque de transparence » dans « les critères d’attribution » des subventions dont la baisse menacerait l’existence de certaines associations.

Pour évoquer ces difficultés, les élus communistes organisent une réunion ce matin à l’ancienne mairie de Bagneux.
A 10 heures, salle Caillat, 1, rue de la Mairie.

Devedjian accusé de négliger les associations

Par Europe1.fr Pour lire l'article sur leur site internet, cliquez ici !

Publié le 29 Janvier 2010 

Dans un communiqué commun diffusé vendredi, les conseillers généraux des Hauts-de-Seine Patrick Alexanian et Patrice Leclerc accusent Patrick Devedjian, président du Conseil général, de s'être "désengagé" des actions menées par les associations du département. "Baisse des subventions, critères d'attribution inconnus... La transparence n'est décidément pas le fort du Conseil général", écrivent les élus, qui fustigent au passage l'"attitude dédaigneuse de Patrick Devedjian". "Cette politique menace de condamner à l'isolement les plus démunis et les plus éloignés du droit qui, à travers la vie associative ont trouvé des lieux d'intégration", poursuivent-ils.

92: plus de prime de Noël aux RMIstes

Figaro.fr

La "prime de noël", versée par le conseil général des Hauts-de-Seine aux RMIstes depuis 1999 ne sera pas reconduite cette année, une mesure jugée "inadmissible" par les conseillers généraux communistes et citoyens, indique l'un d'eux, Patrice Leclerc, dans un communiqué aujourd'hui.

Le conseil général "a décidé, sans consultation de l’assemblée, de mettre fin à une action en faveur des RMIstes obtenu par notre groupe depuis 1999. Les conseillers généraux communistes et citoyens jugent inadmissible ce choix 'd’économie' sur une action sociale", écrit-il. "C'est une décision prise sans vote", a confirmé Patrick Alexanian, conseiller général PCF "Dans cette période-là, c'est un message mauvais et inefficace envoyé par le conseil général", ajoute-t-il. "Supprimer la prime", c'est revenir sur un acquis en faveur des plus défavorisés", a-t-il poursuivi, jugeant que le conseil général a "largement les moyens" de financer la mesure.

La prime de noël "ne sera pas reconduite", confirme le conseil général des Hauts-de-Seine sur son site internet, précisant qu'"il s'agissait d'une aide exceptionnelle".

Les RMIstes des Hauts-de-Seine n’auront pas de prime de noël

Nouvelobs.com

Le Conseil général des Hauts-de-Seine a supprimé la "prime de Noël" qui était versée depuis 1999. Une mesure "inadmissible", selon les élus communistes.

Pour lire le texte directement sur le site internet

Versée depuis 1999, la "prime de Noël" que le Conseil général des Hauts-de-Seine octroyait aux RMIstes ne sera pas reconduite cette année, a-t-on appris samedi 19 décembre. Une mesure "inadmissible" ont fait savoir vendredi des conseillers généraux communistes et citoyens, par un communiqué de l'un d'eux, Patrice Leclerc.
Le conseil général "a décidé, sans consultation de l'assemblée, de mettre fin à une action en faveur des RMIstes obtenue par notre groupe depuis 1999. Les conseillers généraux communistes et citoyens jugent inadmissible ce choix 'd'économie' sur une action sociale", peut-on encore lire dans le communiqué. "Le Président du Conseil général des Hauts-de-Seine n'a pas remis au vote une délibération pour 'la prime de Noel des RMIstes'", un geste "dénoncé" vendredi en séance par le groupe des élus communistes et citoyens, souligne Patrice Leclerc.

"C'est revenir sur un acquis"

"C'est une décision prise sans vote" a également confirmé le conseiller général PCF, Patrick Alexanian, poursuivant que "dans cette période-là, c'est un message mauvais et inefficace envoyé par le conseil général". Et ce dernier de conclure : "c'est revenir sur un acquis en faveur des plus défavorisés".
Sur son site internet, le conseil général des Hauts-de-Seine confirme cette reconduction, précisant qu'"il s'agissait d'une aide exceptionnelle". "Son existence est rendue caduque par la refonte des aides sociales effectuée par l'État autour du revenu de solidarité active (RSA)", écrit-il encore. Cette prime a représenté en 2008 un budget de 3,4 millions d'euros ; elle concernait 25.000 personnes, a précisé le conseil général.

Alexanian commente la politique départementale

 

Paru dans le Parisien le 28 novembre 2009

C’est l’occasion de vider son sac et de s’exprimer sur la politique du département. Patrick Alexanian, le conseiller général PC de Bagneux, organise aujourd’hui un conseil de canton. Face au public, l’élu communiste abordera entre autres les aides départementales versées ou pas aux associations, la politique de la jeunesse et, enfin, les questions de démocratie locale.

Ce conseil se veut « un lieu démocratique et ouvert ». « Quelques semaines après l’épisode de la candidature de Jean Sarkozy à l’Epad, à l’heure où la loi sur le Grand Paris est en discussion, où la réforme territoriale est en débat, il est important que les citoyens participent aux décisions », souligne l’élu.
Conseil de canton, ce matin à 10 heures, à la salle Caillat, dans l’ancien hôtel de ville, 1, rue de la Mairie.