Le blog de Patrick Alexanian

Le Conseil général des Hauts-de-Seine déconnecté des besoins !

 

Pouvons-nous imaginer un Département comme les Hauts-de-Seine dans lequel les associations seraient inexistantes ?

La réponse à cette question semble évidente. Pourtant Patrick DEVEDJIAN, Président du Conseil général, avec sa majorité présidée par Jean SARKOZY, ont fait le choix  de se désengager des actions menées par les associations : baisse des subventions, critères d’attribution inconnus, … la transparence n’est décidemment pas le fort du Conseil général. Nous constatons aujourd'hui une carence d'informations et de dialogue de la part du Département.

Cela met en péril le tissu associatif, l'engagement des citoyens dans la vie de la cité, le lien social, les actions de proximité et fragilise la démocratie. Faire une demande de subvention devient si complexe que les associations constituées uniquement de bénévoles sont mises en difficulté. Cette politique menace de condamner à l’isolement les plus démunis et les plus éloignés du droit qui, à travers la vie associative ont trouvé des lieux d’intégration.

Nous affirmons que cet abandon, cette attitude dédaigneuse de P.DEVEDJIAN est un terrible gâchis d'expériences construites sur des dizaines d'années, de volonté et d'engagement citoyen.

 

C’est pourquoi, nous avons convié à une rencontre l’ensemble des associations du Département :

Le samedi 30 janvier à 10h
Ancienne Mairie, Salle Caillat
1 Rue de la Mairie à Bagneux

Patrick ALEXANIAN
Conseiller général des Hauts-de-Seine

Conseiller municipal de Bagneux

Patrice LECLERC

Conseiller général des Hauts-de-Seine,

Canton de Gennevilliers

Un véritable scandale !

Patrick Devedjian  refuse de verser la subvention de 900 000 euros alloués chaque année à l’Université Paris X, alors que celui-ci, avec ses amis UMP,  finance le pôle privé Léonard De Vinci (fac Pasqua).

Un puits sans fond de 431,6 M€ d’argent public  - 216,6 M€ pour l’acquisition, les études, la construction et la mise à niveau des installations et 215 millions de subvention de fonctionnement sur 10 ans – pour seulement 3000 étudiants, dénoncé à chaque budget par les élus communistes et citoyen.

Le groupe communiste et citoyen du conseil général des Hauts-de-Seine dénonce cette décision prise sans concertation avec l’assemblée départementale. Il demande le versement de la subvention qui concerne 32 000 étudiants et intervient en ce sens auprès de Patrick Devedjian.

Logements étudiants : réhabilitation des cités universitaires et constructions de logements sociaux étudiants

Un communiqué de presse de ma collègue Conseillère générale de Nanterre, Nadine Garcia :

M. Devedjian et Mme Pécresse inaugurent aujourd’hui 155 nouveaux logements étudiants à Boulogne-Billancourt dans le cadre de la convention passée entre le Président du Conseil général des Hauts-de-Seine et la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche annonçant 3000 logement supplémentaires d’ici 2013 et le but énoncé d’augmenter la capacité d’accueil du logement étudiant de 20% dans le département.

Au moment où de nombreuses enquêtes confirment  l’interminable galère des étudiants pour trouver un logement, nous pourrions nous réjouir d’une telle initiative.

Malheureusement la réalité confirme les craintes que nous avons été nombreux à exprimer au moment de la fermeture du bâtiment C de la résidence universitaire d’Antony intervenue brutalement cet été et qui accueillait 548 étudiants.

Patrick Devedjian supprime en catimini la prime de Noël des Rmistes

Les conseillers généraux du groupe communiste et citoyen ont dénoncé en séance, ce vendredi 18 décembre,  le fait que le Président du Conseil général des Hauts-de-Seine refuse de mettre au vote une délibération pour « la prime de Noel des rmistes ». Il a décidé, sans consultation de l’assemblée, de mettre fin à une action en faveur des rmistes obtenu par notre groupe depuis 1999.

Les conseillers généraux communistes et citoyens jugent inadmissible ce choix « d’économie » sur une action sociale alors que dans le même temps des millions d’euros sont dilapidés dans le THD ou la confection d’un nouveau logo.

Une fois de plus, Patrick Devedjian, diminue les actions de solidarité alors que c’est une compétence majeure du conseil général, et que l’amélioration du pouvoir d’achat des familles est non seulement une question de justice sociale mais aussi un élément de sortie de crise.

Courrier au Préfet

Pour votre information, je vous propose la lecture d’un courrier que j’ai co-signé avec Mme Amiable, Députée-Maire de Bagneux. Courrier que nous avons adressé au Préfet des Hauts de Seine pour expliquer pour quelles raisons nous ne participerons pas au débat sur l'identité nationale organisé le 15 décembre par le Préfet des Hauts de Seine.

Pour lire cette lettre, cliquer ici

Sommet de Copenhague sur le climat

Je vous transmets la déclaration de la délégation du Front de Gauche et de l'Alliance des Outre-mers au Parlement européen concernant le sommet de Copenhague

Le Sommet de Copenhague est une occasion historique de changer le sort de la planète. Il est nécessaire que les dirigeants politiques qui y seront représentés parviennent à une décision plus contraignante qu'à Kyoto, qui constitue une avancée par rapport aux objectifs fixés à Kyoto.

La délégation du Front de Gauche et de l'Alliance des Outre-mers demande :

* la création d'un fonds d'adaptation aux changements climatiques conséquent, à la hauteur des enjeux; financé d'une part par les pays qui émettent le plus de CO2 et par les pays les plus riches, et d'autre part par une taxe carbone mondiale ainsi qu'une taxe sur les transactions financières. Ce fonds devra venir en plus et non en soustraction des aides publiques au développement.

Une nouvelle fois, le conseil général des Hauts-de-Seine s’attaque aux actions de solidarité.

Lundi 16 novembre, le conseil général des Hauts-de-Seine se réunit en commission permanente et une nouvelle fois ce sont les activités du secteur social qui font les frais de la politique de ségrégation de P. Devedjian et de sa majorité de droite :

-         diminution de près de 3000 euros de la subvention au Secours populaire,

-         stagnation depuis 3 ans des subventions aux associations d’aide sociale comme les Restaurants du Cœur sans aucune prise en compte de l’augmentation du coût de la vie et des besoins des plus démunis dont le nombre ne cesse d’augmenter

-         diminution des subventions attribuées dans le cadre du contrat urbain de cohésion sociale : moins 100 000 euros pour Nanterre, moins 29 000 euros pour Châtenay-Malabry, ...

 

Cette attaque contre les actions de solidarité dans ce département est récurrente, on se souvient de la diminution de plus de 14 000 euros au Secours populaire, il y a seulement 2 ans. 

 Le groupe communiste et citoyen s’opposera fermement à ces décisions lors de la commission permanente

Salam, peuple sahraoui

Une conférence débat sur le thème "Les violations des droits de l’homme au Sahara occidental" sera organisée le 24 octobre prochain à Vitry à l’initiative de nombreuses associations françaises de solidarité avec la cause sahraouie.

 

Durant cette conférence, il sera question de la "Colonisation et répression au Sahara occidental", "Les disparitions hier et aujourd'hui", "Le droit aux études et au travail" et "Universalité des droits de l'homme et respect du droit international (autodétermination, ressources naturelles)".

Les travaux verront la participation de représentants des différentes associations françaises comme le Comité pour le respect des libertés et des droits humains au Sahara occidental(CORELSO), l’Association française d'amitié et de solidarité avec les peuples d'Afrique (AFASPA), l’Association des Amis de la RASD (AARASD), et l’Association internationale des juristes indépendants (AIJD).

 

Pour plus d’informations : 01 46 82 83 79

LETTRE OUVERTE du GROUPE COMMUNISTE ET CITOYEN

LETTRE OUVERTE du GROUPE COMMUNISTE ET CITOYEN

A MONSIEUR PATRICK DEVEDJIAN,

PRESIDENT DU CONSEIL GENERAL DES HAUTS-DE-SEINE

Monsieur le Président,

Lors de la Commission Permanente du 21 septembre, le groupe communiste et citoyen vous a interpellé concernant les subventions de fonctionnement attribuées aux associations.

Notre groupe, comme il l'a fait à plusieurs reprises, vous a demandé des explications sur  les critères qui définissent ces subventions car, au regard de ceux-ci, une inégalité de traitement entre les associations est établie.

En effet, comment deux associations se voyant allouer une subvention pour l'aide à domicile pour les personnes atteintes d'un cancer perçoivent pour l'une d'entre elle 2185 euros par bénéficiaire et l'autre seulement 289 euros ?

Comment des associations qui agissent dans le domaine du soutien à la parentalité, ou celles qui accompagnent des jeunes dans le cadre du FIJ reçoivent pour des actions identiques, des subventions variant de 13,71 % à 70,96% pour les premières et de 7,17 % à 95,48% pour les secondes ?

Comment des associations accompagnant des malades du sida, d'hépatite, se trouvent pénalisées par le fait que leurs actions augmentent en direction de ces personnes, que leurs subventions sont moins importantes que celles qui diminuent leurs actions ?

D'une manière générale, le département diminue ses subventions  et se désengage des actions menées par les associations, sans tenir compte de la réalité des associations et sans qu'aucune explication ne soit donnée à l'ensemble des élus.

Monsieur le Président, nous vous demandons la mise en place, avant le vote du budget 2010, d'un groupe de travail pluraliste, afin que les critères d'attribution pour les subventions de fonctionnement aux associations soient transparents et justes.

Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l'expression de me salutations distinguées.

 

Madame Catherine MARGATE

Présidente du groupe

Parlons retraites !

Selon un sondage de l'institut Obea-IntraForces pour France Info et le quotidien "20 Minutes"*, deux-tiers des Français (63%) ne sont pas prêts à travailler plus longtemps avant de partir à la retraite , contre 33,9% à se dire favorable à cette idée.
65,9% des Français refusent une éventuelle augmentation de la durée de cotisation.
89,5% des sondés disent non à une diminution du montant des pensions de retraite.
66,4% des Français sont opposés à la suppression des deux ans de cotisation par enfant élevé octroyés aux mères de famille en matière de retraite.

… D’autre part, les personnes interrogées veulent donner leur avis sur le sujet : 81% plaident pour la tenue d'un référendum, et ne sont que 8% à considérer que c'est au gouvernement de trancher.

Je crois que les chiffres sont clairs ! Espérons que le gouvernement saura écouter, pour une fois le peuple !

*(sondage réalisé par téléphone du 21 au 28 juillet auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes, représentatif de la l'ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.)