« Or, comme vous le savez, ces hommes et ces
femmes attendent devant la sous-préfecture à partir de 5 heures du matin. »
Cette nouvelle organisation imposerait alors aux étrangers demandant leur
régularisation d’attendre, s’ils ne sont pas dans les quinze premiers, « une
hypothétique autre semaine » et de les maintenir « dans une situation précaire
». Ce « traitement » étant « dégradant et vexatoire » selon les signataires de
la missive, ceux-ci demandent au préfet de « reconsidérer cette nouvelle
procédure ». Hier soir, le sous-préfet d’Antony faisait savoir qu’il n’avait «
pas encore reçu le courrier ».