Le blog de Patrick Alexanian

Bravo Bagneux !

En Ile-de-France, la Gauche rassemblée recueille 56,69% des voix (en 2004 49,16%). A Bagneux, la gauche atteint 73.8%. Dans notre département, la gauche est majoritaire avec 51,06% des voix... le Parisien parle de séisme politique !

Marie-Hélène AMIABLE et Patrick ALEXANIAN avec toutes les forces de gauche de la ville lors de l'annonce des résultats

Je vous transmets ci-dessous la déclaration de Marie-Hélène AMIABLE, suite aux résultats. 

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Mesdames, Messieurs, Chers ami-e-s,

L’ensemble des résultats des bureaux de vote nous sont maintenant parvenus. Les voici.

Il y avait à Bagneux :

Inscrits	19 929
Votants	9 031 (45,32 %)
Blancs et Nuls	114
Exprimés	8609

 

	Voix	%
UMP-Nouveau Centre - Valérie Pécresse	2253	26,17
La gauche et les écologistes rassemblés - Jean-Paul Huchon	6356	73,82

Je suis heureuse que dans notre ville comme dans notre pays, les Balnéolais aient dit non à la droite à sa politique d’injustice.

Echec historique de la droite dans les Hauts-de-Seine

« C’est une déception, un échec, mais on peut le relativiser »

22 mars 2010 Le Parisien

Vingt et une heures, au conseil général à Nanterre. Les mauvaises nouvelles se succèdent sur l’écran géant qui projette LCI. Les poids lourds de l’UMP et du Nouveau Centre sont encore claquemurés dans les étages. Malgré l’échec historique de la droite, Jean Sarkozy, le président du groupe majoritaire au conseil général, est le premier à apparaître.

 « C’est une déception, un échec, mais on peut le relativiser, assène Jean Sarkozy. L’abstention est en notre défaveur. Et comme la région n’a rien fait pour notre département et nos villes… » Un peu plus loin, Roger Karoutchi se préoccupe de l’après-régionales : « C’est la vie politique, il y a des victoires, il y a des défaites. Ce qui m’ennuie, c’est l’abstention massive dans les quartiers populaires. La sociologie du département est en train de changer. » Rama Yade est sur la même longueur d’onde : « Nous devons repartir à la reconquête de cet électorat. »

Président du conseil général, Patrick Devedjian voit un autre enseignement dans ce scrutin : « Les électeurs demandent peut-être autre chose que des réformes, plus de solidarité. La gauche n’a pas de quoi pavoiser. » Isabelle Balkany ne manque pas de décocher une flèche à son meilleur ennemi en rappelant qu’à Antony la liste du PS et de ses alliés dépasse 52%. La réunion de la majorité U

Que serais-je sans toi qui viens à ma rencontre….

Il nous a quitté. Difficile à dire ce que représente Jean Ferrat pour moi. Difficile d’exprimer les sentiments mêlés de peine mais aussi de joie que je ressens rien qu’en entendant son nom, en fredonnant ses chansons.

Sans lui, sans ses textes peut être n’aurais je pas été totalement le même.

Jean Ferrat n’aurais pas voulu être un modèle et pourtant, comme quelques uns… il tranche. Il est tout simplement un grand homme, une voix. Un poète qui a toujours raison car il parle au plus profond de chacun de nous. Un homme du peuple fidèle dans ses convictions et sa franchise. Je garderais aussi en mémoire son « bilan », je ne cesserais de fredonner que la montagne est belle… Bref, il n’est pas prêt de me quitter.

 « La vie des morts consiste à survire dans l’esprit des vivants » disait Cicéron…

Alors longue vie Jean…

Le PCF se demande si l'immobilisme de M.Devedjian n'anticipe pas à la disparition du CG !

Je vous propose la lecture de l'interview dans première heure de Catherine Margaté, Maire de Malakoff et Conseillère générale,  concernant le budget des Hauts-de-Seine.

Cliquer ici pour télécharger le fichier

Avec toutes les forces de la gauche, Amplifions la défaite de la droite

Nous remercions tous les électeurs qui, à Bagneux, comme dans notre circonscription et dans le pays ont donné une très large majorité à la gauche. Ils ont marqué leur volonté de faire de la région un point d’appui face à la politique de droite.

Ils ont aussi, sans le moindre doute, sanctionné massivement la politique de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement. Jamais la droite parlementaire n’a été aussi faible. Nous ne pouvons que nous en réjouir. Cette sanction est méritée. Explosion du chômage, casse de l’industrie et des services publics, mépris des salariés en lutte, fin de droits pour des centaines de milliers de demandeurs d’emplois, crise du logement sans précédent, nouvelles menaces sur les retraites,… il est urgent d’arrêter cela ! C’est d’abord ce message qui a été porté dimanche.

Aujourd’hui, avec le second tour, il faut le confirmer et même l’amplifier. Comme nous, vous avez sans doute entendu les dirigeants de l’UMP, les ministres interpréter l’abstention trop forte comme une forme de soutien à leur politique.

Ne laissez pas détourner votre colère.

C’est pourquoi, pour dimanche prochain, nous souhaitons le rassemblement le plus large de toutes les forces de gauche. Une gauche rassemblée, fière de ses convictions, qui ne cède  rien à la logique infernale de la politique libérale. Cette gauche unie, qui porte haut ses valeurs, peut apporter le succès, concrétiser la défaite de la droite, changer la donne dans le pays.

Cela comptera pour l’avenir. C’est à notre portée.

Nous appelons toutes celles et ceux qui, dès le premier tour, ont permis ce résultat à poursuivre leur rassemblement.

Nous appelons aussi celles et ceux qui à l’occasion de ce premier tour ne se sont pas déplacés à venir se faire entendre et amplifier la défaite de la droite.

Nous appelons les 7400 électeurs de notre ville qui se sont rassemblés aux élections législatives pour assurer mon élection comme députée, tous les électeurs qui ont fait gagner la gauche aux dernières municipales et cantonales à Bagneux à se mobiliser.

Dimanche 21 mars

Ensemble pour battre la droite et ses projets néfastes et nous donner le plus de forces possibles pour faire vivre nos espoirs.

Ensemble pour nous faire entendre, pour gagner.

Marie-Hélène Amiable                             

Maire de Bagneux                                              

Députée des Hauts-de-Seine 

Patrick Alexanian

Conseiller général desHauts-de-Seine

                            

Intervention lors de la séance du 12 mars 2010

Je vous transmets l'intervention de Patrick JARRY, Maire et Conseiller général de Nanterre, lors du vote du budget primitif 2010 du Conseil général des Hauts-de-Seine !

Monsieur le Président, chers collègues,

 

« L’économie française est sortie de la récession » voilà ce que l’on a pu entendre souvent ces derniers temps, soit dans cet hémicycle, soit prononcée par nombres de ministres ou de parlementaires de la Majorité présidentielle.

La réalité est bien plus cruelle que cela car si le Gouvernement a beau se féliciter de la timide reprise de la croissance, qui a atteint 0,3 % aux deuxième et troisième trimestres 2009, et d’une tendance au redémarrage de l’économie, le fait est que le PIB de notre pays a accusé un recul sans précédent depuis l’après-guerre et que le chômage poursuit sa hausse. Selon l’Observatoire français des conjonctures économiques, 10 % de la population active est au chômage en ce début d’année et 10,6 % le sera fin 2010.

Je l’avais indiqué lors du débat d’orientation budgétaire, mais je tiens à le redire aujourd’hui : À la fin de l’année 2008 notre département comptait 6 % de chômeurs ; à la fin de 2009 : 7,4 %, soit une évolution de + 1,4 % ! … et un taux de variation supérieur à celui de l’Île-de-France qui, elle, atteint + 1,3 %.

Pour lire la suite cliquer ici !

Intervention de la séance du 12 mars 2010

Intervention de Patrick Jarry sur le budget primitif 2010 du Conseil général

Intervention de Jacques BOURGOIN : Bilan 2009 et projets du Département en 2010 dans le domaine de l'habitat

INGEUS, l’échec de la privatisation de l’action sociale dans le 92

Communiqué de presse du groupe communiste et citoyen sur les résultats de l'évaluation menée par le Département sur la privatisation de l'insertion professionnelle en direction des allocataires du RMI/RSA.

Nous avons pris connaissance en séance du bilan du marché « INGEUS » pour la période 2006 2010. Cette évaluation confirme ce sur quoi le groupe communiste et citoyen avait alerté le Conseil Général dès l’origine du projet.

Déjà à l’époque, ce cabinet canadien était connu pour proposer des prestations très onéreuses et avec des résultats peu satisfaisants. Le Conseil Général avait néanmoins voulu maintenir son expérimentation et avait fait supprimer toute convention avec le Pôle Emploi et il a, au final, dépensé plus de 18 M€, prétextant que le secteur privé serait plus opérationnel que le service public.

La conclusion de l’évaluation nous donne malheureusement raison : « Au regard du bilan et des résultats, il conviendrait de ne pas lancer un nouveau marché. Avec la mise en œuvre du RSA, le Département des Hauts-de-Seine pourrait désormais confier le placement dans l’emploi principalement à Pôle Emploi, au travers, par exemple, d’une convention de partenariat ».

Au-delà du gâchis de l’argent public que cette expérimentation représente, c’est un gâchis humain inadmissible. On a entretenu pendant quatre ans chez les allocataires du RMI l’espoir illusoire d’un accompagnement efficace vers l’emploi. Devant cet échec, nombre d’eux entre vont se retrouver encore plus fragilisés et dans une situation encore plus précaire qu’avant pour entrer sur le marché du travail.

Le Président du Conseil Général de l’époque, M. Nicolas Sarkozy, ainsi que l’actuel Président, M. Patrick Devedjian, auraient été bien avisés de tenir compte des mises en garde de l’opposition.

2010 : le budget des mensonges

Patrick Devedjian n’a aucune ambition pour le département

 

A l’image de ce qui se passe dans notre pays, le département des Hauts-de-Seine, n’est pas épargné : hausse du chômage, multiplication des annonces d’entreprises qui ferment ou se délocalisent, de plus en plus d’Altoséquanais en grande précarité.

Une réalité tout autre de ce que peut annoncer le gouvernement dont Patrick Devedjian est ministre du plan de relance.

Un plan de relance dont les effets annoncés, à grand renfort de publicité, se font bien timides pour l’ensemble du territoire français.

Un plan de relance pour les Hauts-de-Seine qui n’était qu’une accélération de projets décidés et dont nous attendons le bilan sur lequel Patrick Devedjian est étrangement silencieux. Ses résultats seraient-ils si peu avouables qu’il préfère ne pas en parler ?

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Les enjeux du Grand Paris

Avec Pierre Laurent tête de liste en Île-de-France, et Patrick Braouezec député, président de Plaine Commune, Christian Favier ( tête de liste dans le 94 ), Joseph Rossignol Maire de Limeil Brevannes, Brigitte Gonthier Maurin Sénatrice des Hauts de Seine, Pascale Le Néouanic ( tête de liste dans le 92 ), Claire Villiers ( Vice Présidente du Conseil Régional ). Une rencontre publique pour mettre enfin au coeur du débat des élections régionales la confrontation des projets sur le devenir de la métropole.

Avec la participation de deux grands témoins interpelant élu-e-s et candidat-e-s : Guy Burgel ( géographe, professeur à Paris X ) et Simon Ronai ( géographe urbaniste).

 

Au sommet de la grande arche à La Défense,
le 4 mars de 19h à 22h.

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